Pensez-vous que le professeur vérifiera aussi vos connaissances en mathématiques et physique quantique avant de vous mettre l’instrument entre les mains ?
En effet la musique doit rester accessible à tout le monde.
Un cours de musique doit rester un plaisir et doit s’affranchir de contraintes qui pourraient nuire à la motivation de nos élèves.
Le solfège est le langage que partagent tous les musiciens. C’est aussi un outil qui s’avère très pratique et le besoin d’y recourir dépend aussi de l’instrument que vous voulez apprendre. Il est par exemple possible d’apprendre la guitare sans solfège, notamment par le biais de la tablature, il paraît cependant indispensable de maîtriser un minimum la lecture d’une partition pour apprendre le violon ou les instruments liés au domaine de la musique classique.
Cependant, même dans ce type de cas, le rôle du professeur est de vous proposer une pédagogie ludique, axée sur la pratique afin que vous puissiez prendre du plaisir tout en développant vos connaissances en solfège. Illustrons notre propos avec le témoignage de Michel, apprenti flûtiste et élève chez Allegro musique : « J’ai commencé les cours de flûte traversière il y a de cela un an et demi avec une réelle appréhension par rapport au solfège.
C’était pour moi du chinois. Mais, très rapidement le professeur m’a rassuré et m’a permis de progresser sans que mes lacunes en théorie ne soient un frein à ma progression. La pédagogie était axée avant tout sur l’écoute du son, sur le placement des doigts…Lorsqu’on débute la flûte, le solfège est de toute façon assez basique, il suffit de savoir lire quelques notes, ce que j’ai acquis assez rapidement. Aujourd’hui, je me rends compte que mes progrès en solfège sont mêmes plus rapides que ceux en technique.
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